Vos poèmes <3
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Vos poèmes <3
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Re: Vos poèmes <3
J'inaugure 8)
Ca tombe bien, j'en ai plusieurs o/
Voilààà
Ca tombe bien, j'en ai plusieurs o/
- Nuit forestière:
Le vent agonise dans l'éternelle nuit,
Rares sont ceux entendants ses cris,
Tandis que le son chaleureux d'une flûte enchantée
S'élève pour une lune glacée.
Les arbres se murmurent leurs secrets,
Les feuilles valsent sur un air guilleret,
Les chants d'oiseaux s'évanouissent,
Et les étoiles s'épanouissent.
Quelques lueurs éclairent les regards inquiets
Se faufilant entre les bosquets.
Refont surface les contes de fées oubliées
Les maisons sucrées de sorcières
Tuées par un preux chevalier
Venu sauver la belle de l'affaire
Refont surface les mythes de tueurs,
Venant chercher leurs victimes à l'orée des bois
Pour les assassiner dans une nuits sans lueurs,
Et sans qu'un témoin ne le voie.
Refont surface les rêves envolés,
Parfois accompagnés de coeurs brisés
Ou de souvenirs bienheureux,
Trace de nos coeurs brillant de mille feux.
Et les contes, les mythes et les rêves unissent leurs voix,
Se fait alors entendre un chant de l'autrefois
Où réapparaissent les larmes et les rires
Les flammes éteintes d'une bougie sans cire.
Les notes apaisent le vent, raniment d'autres chants,
Renforcent la flûte enchantée les accompagnant,
Elles font sourires les arbres majestueux,
Aux feuilles elles donnent un air plus heureux
Les étoiles de nos coeurs resplendissent,
Les regards s'apaisent et dans leurs tanières se glissent,
Tandis que les chanteurs forment une ronde,
Maîtres et protecteurs de l'enfance du monde
- Seule.:
Y a plus personne qui m'écoute,
Les paroles sonnent comme un doute,
Je ne vois rien de vrai dans leurs yeux,
N'y a-t-il que moi pour regarder nos cieux?
Ne suis-je donc pas comme eux?
Ils m'entourent jours et nuits
Sans un instant de répit.
J'aimerais qu'ils me comprennent,
Mais je ne vois que des moqueries
Alors je reste seule avec ma nuit,
Mes paroles ne traduisent plus mes pensées,
Je suis si seule à être ce que je suis,
Sans trouver celui ou celle qui me comprendra.
Y a plus personne qui m'écoute,
Leurs paroles sonnent comme un doute,
Mes mensonges comme une vérité,
Mon sourire comme une preuve et mon regard est un SOS caché.
"Un problème?Tu n'avais pas l'air bien"
"Ne vous inquiétez pas, c'est rien,
Je suis seulement fatiguée."
Ou plutôt perdue. Désespérée.
Mais ça, c'est enfoui au fond de moi,
Personne ne connaît la vraie moi,
Ils font tous leurs paons dans la cour,
Moi j'attends que le temps passe, le coeur lourd.
Y a plus personne qui m'écoute,
Les paroles sonnent comme un doute,
Ils tracent leur trop banal chemin,
Moi je trace le mien un peu tordu,
Où je me suis si souvent perdue
Et où s'est posé le doute,
Mais on se retrouvera tous sur la même route,
Certains pauvres en sentiment
Sans que je ne leur apprenne ce que je sais.
- Funambule:
Et tel un funambule,
Accrochée sur un fil,
Je tangue et je bascule
A chaque battement de cil
Je vais finir par tomber
Peut-être avant cette arrivée
Cette destination, cette fin,
Que me prédisent les gens mondains.
Et tel un funambule,
Affichée sur son tableau,
Je tangue et je bascule
Pour chaque goutte d'eau.
Je vais finir par tomber,
Peut-être avant cette arrivée
Sous les regards moqueurs,
Et les sons rieurs
Et tel un funambule,
Debout sur un toit,
Je tangue et je bascule
Pour chacun de mes regards vers toi.
Je vais finir par tomber,
Peut-être avant cette arrivée,
Je vais fondre comme une bougie
Sous une flamme de mélancolie
Et tel un funambule,
Sous l'épée de Damoclés
Je tangue et je bascule,
Entre rires et détresse.
Je vais finir par tomber,
Sûrement avant l'arrivée,
Je vais tomber en dansant,
Je vais tomber en oubliant.
Voilààà
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Re: Vos poèmes <3
D'apprenti à guerrier
Ton chemin est tout tracé
Sort tes griffes, montres tes crocs
Montre-nous ce que tu vaux
La ligne des ennemis avance
Peu importe ce que tu pense
Sort tes griffes, montre tes crocs
Montre-nous ce que tu vaux
Sans crainte de mourir tu te battras
Le Clan des Étoiles toujours te guidera
Sort tes griffes, montre tes crocs
Montre-nous ce que tu vaux
Un jour tu les rejoindra en mourant
Ils t'acceuilleront, mais en attendant
Sort tes griffes, montre tes crocs
Montre-nous ce que tu vaux
Sombre lueur ambrée,
Et griffes acérées,
La mort partout tu sèmes,
La mort tu promènes,
Mais la vengeance s'éveille,
Fier pelage de braises,
Combat acharné,
Combat pour la liberté,
Et pour l'éternité.
Après plusieurs saisons,
Renaît le grand félin,
Yeux glacés, souffle d'hiver,
Machinations opèrent,
Encore une fois,
Le bien triomphera,
Avec à sa tête,
Héritier, yeux ambrés.
Un jour il est arrivé,
Sans que tu puisses résister,
En cachette tu l'as aimé,
Passion impossible à déclarer,
Puis ton corps on a trouvé,
Déchiré par un guerrier,
Beaucoup il a pleuré,
Le sujet de cet amour effréné.
Mais bien des saisons ont passés,
Et il ne t'as pas oublié,
Lointaine pensée,
Robe écaillée,
Yeux verts éveillés,
TU ne seras pas oubliée,
Petite guérisseuse passée.
Tu l'as vu te quitter,
Le pelage de sang taché,
Triste lueur dans ses yeux bleutés,
Fin de cet amour malheureux,
Ta douleur tu as pleuré,
Ne pouvant pas t'arrêter,
Mais les deux ont subsisté,
Héritiers de ta lignée,
Forts guerriers bien entraînés,
Mais pas assez pour résister,
L'un a rejoint la rivière argentée,
L'autre n'a pas voulu quitter,
Celle qui l'attendait.
Seul tu t'es retrouvé,
Enlevé par les chasseurs,
Un amour tu découvres,
Et l'autre te restera,
A jamais dans la mémoire,
Pour toujours dans ton être,
Jusqu'au jour où tu le retrouvera.
Douce plume noire,
Que de malheurs tu as enduré,
Aucunes n'est rescapée,
De ton cœur brisé,
La première s'est envolée,
Et sauvée le monde entier,
Mais tu l'as trop pleuré.
La deuxième a résisté,
A essayé de ne pas t'aimer,
Mais c'était trop demander, et elle a succombé,
Ensemble vous vous êtes enfuis,
Essayant de fuir cette vie.
Le blaireau vous a croisé,
Et dit la prophétie,
Rentrer vous avez décidé,
Et feuille parmi les feuilles,
Elle t'as échappé.
Aujourd'hui trop malheureux,
Le monde n'est pas parfait,
Et c'est un regret.
Ton chemin est tout tracé
Sort tes griffes, montres tes crocs
Montre-nous ce que tu vaux
La ligne des ennemis avance
Peu importe ce que tu pense
Sort tes griffes, montre tes crocs
Montre-nous ce que tu vaux
Sans crainte de mourir tu te battras
Le Clan des Étoiles toujours te guidera
Sort tes griffes, montre tes crocs
Montre-nous ce que tu vaux
Un jour tu les rejoindra en mourant
Ils t'acceuilleront, mais en attendant
Sort tes griffes, montre tes crocs
Montre-nous ce que tu vaux
Sombre lueur ambrée,
Et griffes acérées,
La mort partout tu sèmes,
La mort tu promènes,
Mais la vengeance s'éveille,
Fier pelage de braises,
Combat acharné,
Combat pour la liberté,
Et pour l'éternité.
Après plusieurs saisons,
Renaît le grand félin,
Yeux glacés, souffle d'hiver,
Machinations opèrent,
Encore une fois,
Le bien triomphera,
Avec à sa tête,
Héritier, yeux ambrés.
Un jour il est arrivé,
Sans que tu puisses résister,
En cachette tu l'as aimé,
Passion impossible à déclarer,
Puis ton corps on a trouvé,
Déchiré par un guerrier,
Beaucoup il a pleuré,
Le sujet de cet amour effréné.
Mais bien des saisons ont passés,
Et il ne t'as pas oublié,
Lointaine pensée,
Robe écaillée,
Yeux verts éveillés,
TU ne seras pas oubliée,
Petite guérisseuse passée.
Tu l'as vu te quitter,
Le pelage de sang taché,
Triste lueur dans ses yeux bleutés,
Fin de cet amour malheureux,
Ta douleur tu as pleuré,
Ne pouvant pas t'arrêter,
Mais les deux ont subsisté,
Héritiers de ta lignée,
Forts guerriers bien entraînés,
Mais pas assez pour résister,
L'un a rejoint la rivière argentée,
L'autre n'a pas voulu quitter,
Celle qui l'attendait.
Seul tu t'es retrouvé,
Enlevé par les chasseurs,
Un amour tu découvres,
Et l'autre te restera,
A jamais dans la mémoire,
Pour toujours dans ton être,
Jusqu'au jour où tu le retrouvera.
Douce plume noire,
Que de malheurs tu as enduré,
Aucunes n'est rescapée,
De ton cœur brisé,
La première s'est envolée,
Et sauvée le monde entier,
Mais tu l'as trop pleuré.
La deuxième a résisté,
A essayé de ne pas t'aimer,
Mais c'était trop demander, et elle a succombé,
Ensemble vous vous êtes enfuis,
Essayant de fuir cette vie.
Le blaireau vous a croisé,
Et dit la prophétie,
Rentrer vous avez décidé,
Et feuille parmi les feuilles,
Elle t'as échappé.
Aujourd'hui trop malheureux,
Le monde n'est pas parfait,
Et c'est un regret.
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